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Parijs, dinsdag 24 februari

J'ai quitté l'idée de louer un vélo et j'ai pris le métro ce matin et j'était trois quard d'heure trop tôt au workshop. On praticue cette avant-midi a nouveau "le coeur". Le règle de trois seconde est la pour gagner ton propre autonomie, pour sentir ta propre force, pour devenir plus en plus résistant. Mais soit dans le "ici et maintenant", pars'que après trois seconde c'est trop tard!!
C'est claire que ca crée un contre-mouvement dans notre société, qui est au plupart un sociéte de suivre, de ne pas prendre son résponsabilité.

Le coeur alors. J'ai compris que on ne fait pas une chose pars'que on a fait ca hier. Non. On fait une chose pars'que il y une systematique, une logique dedans. Et il y a vraiment une logique sur le podium.
Et comme j'ai dit hier 'l'exercice du coeur" est comme une vocabulaire, een steun, une aide.
Mario raconte nous q'il fait toujours le coeur avant de commencer une repetition avec des acteurs. Même 12 minutes. Après il sont a l'aise, centré (il parle pas d'etre concentré, mais centré). Et un spactacle est jamais le meme le soir après. Les clowns connait les règles et joue les règles, et pour le reste il connaisse des entrées, des sorties, et minimum 10 chansons et numéro's. Et chaque soir on ne sais jamais si il va etre une entrée comme si ou comme ca. Interesant, n'est pas!

Il y a aussi une monde de difference entre quelq'un avec un nez rouche et un clown.
Ca on aborde l'après-midi dans les naissances du clown. Un clown a toujours un voix et un pré-nom qui est pas du tout le cienne. Et le nom est pas poëtique (pars'que le clown même est poetique deja). La bouche et les yeux parle. Et si on a rien a dire la bouche est fermé. Etre a l'aise sur le podium, sans quitter le regard du public pour une seconde, être dans le ici et maintenant.
Mario nous guide très precisement avec question et réponse, et si on a pas quel'que chose a dire, on part.

C'était vite 17 heure. Le monde magique des clowns s'ouvre un petite peu avec des bébé-clowns.
A demain, bonne rêves, bonne nuit, Jan